Impossible
d’oublier l’imprévisible
Irruption
volcanique où les aiguilles
De
l’horloge refusent d’aller plus loin
Dans
ce qui semble être un brouillard lointain
Le
ciel est bleu à San Francisco
Sombre
l’atmosphère de mon salon
Il
fallait signaler le 911
Que
faire d’autre
Jamais
je n’oublierai ce cri
Ce
cerveau qui explose
Ce
corps qui s’évanouit
Ce
départ vers l’inévitable
Non
le temps refuse de suspendre son envol
Les
heures à venir seront loin
D’être
propices malgré les suppliques
Pour
repousser l’éventuelle
Nuit
éternelle
Coulez
mes larmes martiennes
Au
souvenir de cet après-midi
Je
dis pourquoi ici maintenant
Le
temps aurait pu prendre son temps
Il
ne me reste que le temps des souvenirs
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