Quand
je regarde au loin
Après
une nuit sans fin
J’implore qu’advienne
L’aube
pour chasser ces ténèbres
Que
je ne suis plus capable
De
supporter
Quand
je regarde ma petite planète
Avec
ses montagnes de souffrances
Avec
ses humains que de noms
J’implore
en pleurs qu’advienne
L’aube
pour m’apporter une lueur d’espoir
Pour
chasser cette détresse
Que
seule la lumière peut ensevelir
Quand je regarde mes petits-enfants
Et
que je les vois s’adonner à leurs jeux
Cela
m’ouvre sur l’espoir
Que
l’aube m’apportera enfin
Des
rayons d’espérance
Pour
calmer ma désespérance
Quand
je regarde les ténèbres
D’une
autre nuit qui vacille
Entre
la clarté disparue et sa noirceur
Je
plonge mon être dans le vide
Pour
y trouver un début d’espérance
L’espoir
de l’aube
L’espoir
de la lumière
Qui
revient éclairer
À
nouveau ce monde vacillant
Et
retrouver l’espoir à nouveau
L’espoir
de l’aube
L’aube
nouvelle
L’aube
éternelle