C’était
il y a 50 ans
Sur
le bord d’un lac
Non
celui de Lamartine
Mais un lac beauceron
Une
ravissante jeune fille
S’amenait
dans ma vie
Le
ciel était bleu
Non
pas à Los Angeles
Mais
dans ma Beauce natale
Des
jours heureux pleins de promesses
S’ouvraient
sur ces deux cœurs amoureux
Ce
jour historique des amours scellées
M’implore
de suspendre le temps
Hélas
je n’ai pas ce pouvoir
Mais
mon cœur se rappelle
De
ce tison qui a brûlé
Qui
a réchauffé ce cœur
Qui
maintenant pleure le départ
De
son amour
Si
j’avais le pouvoir
De
lui donner en ce premier juillet
Un
céleste baiser
Je
gravirais les plus hautes montagnes
J’emprunterais
l’échelle de Jacob
Qui
sait
Un
miracle pourrait
Réaliser
Ce
désirable souhait
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