Oui
autrement
Je
n’aurais pas cette maladie
Qui
me gruge toutes mes énergies
Et
qui hypothèque mon futur
Oui
vraiment
Je
voudrais tellement
Qu’une
lumière traverse
Mon
corps en dérive
Ce
mal qui finit
Par
briser mes rêves
A
trouvé un chemin
Dans
mon corps endolori
Moi
qui célèbre les trois-quarts de ma vie
Je
demande à mon corps de me laisser
Une
trêve bien méritée
Je
souhaite que demain
Je
puisse voyager sereine
Dans
mes rêves
Je
ne demande pas tant que cela
À
la vie
Juste
égrener encore
Des
jours heureux
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