Lors de cette nuit de la Saint-Valentin
Tu t’es envolé paisible et sans bruit
Toi l’incarnation de l’amour même
Tu ne pouvais ne pas choisir un
meilleur jour
Tu t’es éteint sans bruit sans vouloir
déranger
Tu as laissé aller ton lourd fardeau
De cette souffrance qui rongeait ton
corps
Usé par toutes ces années de durs
labeurs
Dans ce nouveau monde où tu fus projeté
Te reste-t-il des souvenirs de ta vie
terrestre
Dans cette nouvelle dimension où tu vis
Brûle-t-il un feu sacré que rien ne
restreint
J’ose imaginer que tu sèmes autour de
toi
Des graines de joie et des anecdotes
Qui font rire des êtres connus jadis
Sur cette terre que tu aimais tellement
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