Maintenant qu’Andrée est partie
Dans son monde que je ne connais pas
Moi j’ose imaginer qu’elle jette sur moi
Son ombre protectrice à chaque instant
Par la force du destin je suis devenu
Tronc et racines de cet arbre
Andrée est partie dans les feuillages
D’où elle jette sur moi son ombre protectrice
Ainsi j’ose imaginer la suite des choses
Une façon de la garder présente dans ma vie
Sachant que mon chagrin va perdurer éternellement
Que sa présence va me manquer cruellement
De mon tronc, je sens une légère brise
Bercer son feuillage où les oiseaux se plaisent
À lui raconter ce qu’ils ont épié ici-bas
Et tout le chagrin de cet amoureux esseulé
C'est une triste réalité, mais aussi une belle façon de garder en mémoire la présence d'un être aimé.... Ce poème est rassurant pour la suite de ta vie...
RépondreEffacerInversion de vos polarités
RépondreEffaceret présence discrète de la Bien-aimée.
Derrière cet ombre plane un parfum d'Éternité !
Belles photos aussi !