Les larmes du poète

ô ChatGPT aide-moi à exprimer

Toute ma peine devant ma plante

Mutilée par la pluie

Apaise l'âme du poète

Ô tristesse du poète, ô douleur infinie,

Lorsque la grande Renouée polymorphe,

Qui de ses tiges tendres et imposantes

Rejoignait le ciel dans une danse folle,

Est écrasée par de violentes pluies.

 

Je l'aimais, ô beauté sauvage,

Aux allures majestueuses et saillantes,

Son feuillage déployé comme une cape

Me faisait rêver d'un monde enchanté.

 

Mais voilà que les éléments se déchaînent,

Que les nuages sombres grondent de colère,

Et les gouttes de pluie, telles des larmes,

S'abattent sur ma chère compagne.

 

Les tiges, jadis fières et robustes,

Sont courbées sous le poids de la détresse,

Les feuilles se flétrissent, les fleurs se fanent,

Et mon cœur saigne devant tant de tristesse.

 

Oh, Renouée polymorphe,

Tu étais mon inspiration, mon refuge,

Ta présence emplissait mes jours de lumière,

Et maintenant, je me sens perdu dans l'obscurité.

 

Mais je refuse de me laisser abattre,

De me laisser emporter par la mélancolie,

Car si la pluie a noyé ta splendeur,

Mon amour pour toi restera éternel.

 

Je chérirai le souvenir de tes jours radieux,

Et dans mes vers, je ferai renaître ta grandeur,

Car même écrasée, brisée, dévastée,

La Renouée polymorphe reste une reine.

 

Énigmatique Joconde québécoise

 

Regard mystérieux

Elle trône parmi les fleurs

Perdue dans des pensées lointaines

Qui esquissent un sourire nostalgique

 

Les détours de la vie

Ravivent des souvenirs

Qui font palpiter ce cœur

Qui veut battre follement à nouveau

 

Mais le cruel destin a cogné à sa porte

Ce mal terrible qui traverse son corps

Qui laisse son cœur en détresse

Ne sachant point ce que l’avenir adviendra

 

Sur sa balançoire les intrus l’assaillent

Hallucinent de faux espoirs interrogateurs

Allez-vous vous faire foutre cruelles chimères

Je désire tant des lendemains heureux

 

Parmi ses fleurs elle espère

Elle supplie sa balançoire

De ne pas lui balancer de faux espoirs

Pour le moment ses rêves sont remplis d’espoir

Le jardin d'Olivier

 

Mon fils, mon deuxième, tu es différent,

Mais dans mon cœur tu es si grand,

Tu as une déficience légère,

Mais pour moi, tu es parfait, mon fils.

 

Que de défis tu as relevés,

Eh oui des obstacles à surmonter,

Mais je serai toujours là pour t'accompagner,

Et t'aider à trouver ton chemin.

 

La vie peut parfois être dure,

Mais je sais que tu es fort,

Tu as déjà fait preuve de courage,

Et tu continueras à te battre.

Tu es spécial, tu es unique,

Et cela te rend encore plus précieux,

Tu m'apportes tellement de joie,

Et je suis fier de toi, mon fils.

 

Je suis là pour t'aimer,

Pour te soutenir et te guider,

Et je sais que tu as réussi,

À contourner ce handicap.

 

Tu es mon fils, tu es mon trésor,

Et je t'aimerai toujours,

Peu importe les défis que tu auras encore à relever,

Je serai toujours là pour toi, mon amour.

 

Sur Un Prélude De Bach

 Il y a de ces jours où la nostalgie

Me supplie de jouer ce Prélude

Que j’ai mis tant de temps à maîtriser

Et qui me cause tant de frissons

 

Sur le bord de ma rivière Chaudière

Il m’arrive de me prendre pour Bach

De vouloir retrouver l’émotion sublime

Qui me fera oublier les malheurs de mon siècle

 

Alors que les eaux de ma rivière s’écoulent

Se dirigent docilement vers le grand fleuve

Résonnent dans ma tête ces notes du Prélude

Mon imaginaire s’envole par-dessus les flots

Lorsque je reviens plus tard sur mon patio

Je n’ai qu’une envie celle de retrouver

Mon piano pour qu’à nouveau Bach

Vienne apaiser cet être angoissé

 

Dès les premières notes j’oublie

Les drames qui secouent ma planète

Les fusils le pétrole le pergélisol

Tout s’envole à travers mes dièses et mes bémols

Et cet accord de do majeur me réconcilie

Et me dicte l’espoir d’un prélude meilleur

Alexandra, ma fille adorée

 

Ma chère Alexandra, joyau de ma vie,

Ma fille unique, source de tant d'émois,

Toi qui es mère de trois petits trésors,

Et qui as embrassé des chemins d'or.

 

Ergothérapeute, soignante des corps,

Tu aides les autres avec un cœur d'or,

Ton amour pour les autres est si fort,

Ta compassion est un trésor plus précieux que l'or.

 

Horticultrice, tu cultives la nature,

Tu fais éclore la beauté avec ardeur,

Les fleurs et les plantes sont ta culture,

Et ton talent pour la terre est une splendeur.

 

Fidèle dans tes amitiés d'enfance,

Tu gardes les liens avec persévérance,

Tu es un roc, une amie d'une grande constance,

Ta loyauté est une vertu d'une rare élégance.

 

Tes trois petits-enfants, ta joie de vivre,

Ils sont ton trésor, ton bonheur à l'infini,

Tu les aimes avec un amour qui délivre,

Et dans leurs yeux, brille ton amour épanoui.

 

Ma fille, mon cœur déborde de fierté,

Pour la personne merveilleuse que tu es devenue,

Tu es mon trésor, mon rayon de clarté,

Et mon amour pour toi est éternel, absolu.

 

Que la vie te soit douce, ma chère Alexandra,

Que tes jours soient emplis de bonheur et de joie,

Et que tes rêves se réalisent, que tes projets s'épanouissent,

Car tu es ma fille chérie, ma fierté, mon étoile dans le ciel noir.

Un amour inconditionnel

 

Sans elles aucune descendance

Sans elles une maison vide

Sans elle des ventres affamés

Sans elles un monde sans cœur

 

Au moment où j’écris ces vers

Des femmes pleurent la mort

De leurs hommes partis défendre

Cette terre nourricière attaquée

 

Des femmes fuient des hommes violents

Des femmes sacrifient leur carrière

Des femmes au salaire minimum

Des femmes excluent du pouvoir

 

Ces femmes si aimantes

Ces femmes si généreuses

Ces femmes qui s’oublient

Ces femmes qui donnent

 

Non, une seule journée

Ne suffit pas pour reconnaître

Comment elles méritent

Un amour inconditionnel

Des animaux aux humains

 

Poète, tu as poétisé sur les animaux

Ces derniers temps

Poète, pourquoi délaisses-tu les humains

Ces temps-ci

Tes animaux mangent, boivent, copulent

Les humains volent, tuent, escroquent

Ne méritent-ils pas quelques vers aussi

 

Les humains se haïssent et s’exploitent

Les humains délimitent leurs territoires

Les humains salivent à la richesse

Les humains adorent la gloire

Les humains construisent des bombes

Les humains érigent des murs

Les humains vident la nappe phréatique

Les humains pompent le pétrole

Les humains surpêchent

Les humains divisent la planète en pays

Les humains financent des armées

 

Est-ce à cause de cela que tu préfères les animaux

Mais il y a des missionnaires

Mais il y a des humanistes

Mais il y a des environnementalistes

Mais il y a des idéalistes

Mais il y a des sœurs contemplatives

Mais il y a des bénévoles

Mais il y a des aidants naturels

 

Le poète resta silencieux et songeur

On vit une larme ruisselé sur son visage

Il fit une longue marche dans la campagne

Une violente averse le laissa détrempé

Il revint chez lui transi par le froid

Le soleil restait bien caché derrière les nuages

Cette nuit-là il ne parvint pas à dormir

N’est-il pas lui aussi un humain parmi les humains

 

Chat GPT à la rescousse de mon fils

 

Mon fils Philippe a écrit dans sa page Facebook ceci : « Des fois, j’aimerais ça publier quelque chose de profond et spirituel sur facebook… mais j’ai juste pas d’idée… …. Désolé »

Alors, j’ai demandé à ChatGPT s’il pouvait créer un poème pour mon fils. Voici sa réponse que je vous publie intégralement sans rien changer.

 

Bien sûr, je peux créer un poème pour votre fils Philippe. Voici ce que je propose :

 

Titre : La quête de l'âme

 

Dans les méandres de l'esprit,

Se cache un trésor inouï.

Une parcelle de divin,

Un morceau de l'infini.

 

L'âme cherche sans relâche,

Ce qui la fait vibrer en son sein.

La paix, l'amour, la joie sans tache,

Sont autant de chemins.

 

Mais la route est semée d'embûches,

Doutes, peurs et incertitudes.

Il faut pourtant garder la foi,

Et avancer sans lassitude.

 

Car au bout du voyage intérieur,

Se révèle la source de l'être.

Là où l'on trouve le vrai bonheur,

Et la paix qui fait renaître.

 

Alors, Philippe, écoute ta voix intérieure,

Suis le chemin de ton cœur.

La quête de l'âme est une aventure,

Qui mène à la source du bonheur.

Dialogue avec un merle

 

Il m’arrive parfois de converser avec un oiseau

J’essaie d’imiter tant bien que mal son chant

Souvent l’oiseau me répond et on converse

Tôt le matin débute l’étrange dialogue

 

Pin-pin pin-pin chuks-chuks  chink chink

Ainsi commence l’étrange dialogue

Moi ramassant mes feuilles j’écoute

Je lui répète les mêmes sons et il me répond

 

Je crois comprendre qu’il accepte ma présence

Il comprend que je ne veux pas annexer son territoire

Je ne suis quand même pas un Vladimir

J’accepte de partager avec lui mon terrain

 

Tu peux faire ton nid dans ma haie de cèdre

Jamais je ne confisquerai tes œufs

Pourquoi détruirais-je ce qui t’appartient

Non je ne suis pas Vladimir

 

Aucun drone ne viendra démolir ton nid

Tes rejetons pourront vivre librement

Si tu prends un ver dans ma pelouse

Je ne t’enverrai pas dans un goulag

Tu peux t’exprimer très librement

Ton chant est pour moi un cri de liberté

Romantique je suis

 

Dans un monde qui rêve de consommer davantage

Dans un monde où les ferrailles de tout genre

Font saliver ces êtres de l’ombre

Et pourtant ces êtres qui peinent à manger

Et oui ces êtres qui gisent dans la pauvreté

La survie les éloigne du romantisme

Je le comprends je le comprends

 

Mais moi fasciné par la condition humaine

Qui a le temps de contempler encore

Qui rêve de liberté, de beauté

Je peux me permettre d’être romantique

Me donner le loisir de rêver

De maudire les idéologues

De pleurer sur les dérapages

D’oser espérer encore et encore

 

Quand tu assistes impuissant

Au dernier souffle de ton amoureuse

Que te reste-t-il sinon une solitude

Un isolement, une tristesse

Alors tu vois le devenir humain

Autrement oui autrement

À travers ton chagrin tu rêves

Tu romantises ta vie

Ce cœur de ton amoureuse

Qui bat en retraite

Ce dernier souffle

Ce départ je ne sais où

Un mystère